12 juillet 2021 Au début de la pandémie, 1,6 milliard d’élèves dans plus de 190 pays ont été touchés par la pandémie, mais certains sont touchés plus que d’autres. La pandémie de COVID-19 a eu un...
5 juillet 2021 Les femmes et les filles handicapées restent largement invisibles et exclues de la participation aux décisions qui affectent leur vie, ce qui entraîne un risque accru de violence...
Solidarité féminine pour la paix et le développement intégral (SOFEPADI), une ONG créée par des femmes au nord-est de la République démocratique du Congo, aide les femmes, les enfants et les hommes victimes de violences sexuelles liées aux conflits à guérir leurs blessures physiques et psychologiques, et lutte contre l’impunité face aux crimes commis en Ituri.
Des violences domestiques continuent d’être signalées en Iraq, alors que les mesures de confinement dues à la COVID-19 empêchent de nombreuses femmes d’obtenir une aide juridique et médicale.
Grâce à son approche novatrice en matière d’apaisement et de transformation, Thokozani Ndabaand, ainsi que les jeunes femmes qu’elle soutient, sont une nouvelle source d’espoir pour les victimes de violence sexuelle à Setswetla, en bordure du township d’Alexandra en Afrique du Sud.
Selon Gaby Oré Aguillar, membre du Conseil d’administration du Fonds de contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture, la reconnaissance de la violence sexuelle et sexiste comme un acte de torture donne aux victimes les moyens de demander réparation et d’assurer leur réadaptation, et rend les États responsables d’améliorer les services aux victimes.