Un nouveau rapport du Rapporteur spécial sur les questions relatives aux minorités, Fernand de Varennes, s’intéresse aux différents moyens de lutter contre la montée des discours haineux en ligne contre les groupes minoritaires.
15 mars 2021 Selon les statistiques disponibles, environ 70 % des personnes visées par les discours de haine dans les médias sociaux ou par les crimes de haine appartiennent à des minorités. Or, Les...
3 mars 2021 Dans le contexte d’une économie mondiale en profonde récession, il existe de nombreuses raisons de craindre une crise systémique de la dette, a averti ce matin l’Experte indépendante sur...
GENÈVE (3 mars 2021) - Une experte des droits de l'homme de l'ONU a appelé aujourd'hui à des réformes urgentes de l'architecture de la dette internationale, affirmant que les "trois grandes" agences...
NEW YORK (26 octobre 2020) – Une experte des droits de l’homme de l’ONU a alerté d’une crise imminente de la dette de plusieurs pays à revenu faible et intermédiaire, résultante de la pandémie de...
English GENÈVE / NEW YORK (7 octobre 2020) - Les responsables politiques, en particulier les candidats à la prochaine élection présidentielle en Guinée, devraient s'abstenir d'invoquer des...
Liberté d’expression ou discours haineux : la fiche du HCDH qui propose un cadre d’évaluation permettant d’identifier les cas d’incitation à la haine est désormais disponible en 32 langues, grâce à Facebook.
Le COVID-19 ne fait aucune distinction « et pourtant, la pandémie continue de générer une avalanche de haine et de xénophobie ; on désigne des boucs émissaires ; on entretient la peur », a déclaré António Guterres, Secrétaire général de l’ONU. Dans une déclaration forte contre les discours de haine qui ont pris de l’ampleur durant la pandémie, M. Guterres a déclaré que le virus « n’a que faire de nos différences ».
La prévalence des discours de haine et de l’incitation à la violence dans les médias syriens aggrave encore les divisions sociétales. Une organisation syrienne pour les droits de l’homme et la justice travaille sans relâche pour résoudre ce problème. Yayha Fares, un réfugié syrien, est à la tête du projet sur les discours de haine lancé par l’organisation.